Samedi 17 octobre j'étais invité à une battue au sanglier chez les copains, ça a été une belle matinée pour moi...
Nous arrivons aux membres ou les postes vont être distribués.
Un membre de l'équipe vient me voir en me disant toi et ton collègue vous êtes jeunes vous viendrez avec moi, je vous montrerai de la route où il vous faut monter. Nous voilà parti.
Arrivés à l'endroit, il nous dit qu'il en faut un ici et que le 2eme doit monter en haut à la limite des pins.
Et nous voilà parti à grimper dans un gravas (éboulis de pierres en gros 1 pas en avant 2 en arrière).
En arrivant au premier poste, je demande au collègue où il souhaite se mettre.
Il m'indique alors qu'il préfère rester là et en me chambrant il me répond d'aller en haut.
Avant de repartir je lui dis qu'il le regrettera surement.
Après quelques efforts, me voici arrivée au poste. Je regarde aux allants tours, je peux tirer tranquille.
Voici comment se présentait le poste
Quelques minutes plus tard, j’entends une compagnie de sangliers arriver.
Ça commence a tiré, les sangliers se sont divisés, je me prépare pui soudain, en voici 1 qui vient me voir...
Il restera là avec moi (28 kg).
15 min plus tard, un autre arrive passe entre les postiers pour s'en aller dans le travers en face de moi.
Je m'assoie sur le rocher pour être plus stable lors du tir, je m'appuie sur mes genoux, le sanglier sort et là je tire une balle.
J’aperçois alors le sanglier s'écrouler !
J'appelle un copain rabatteur (Yannick Bourrier) pour venir au sanglier car il était blessé.
Je n'avais pas l'autorisation de quitter mon poste, je n'ai pas pris de risque. Celui-ci pesait 59 kg.
Puis 10 min après, les chiens sortent sur le plateau.
Ça se dérobe en dessus, deux sangliers viennent vers moi...
Le 1er fera carreau (32 kg) mais je manque le 2eme.
Fier de ma mâtiné, à la fin de la battue je téléphone au collègue d'en bas a qui j'avais prédis qu'il le regretterai (David Arnal) pour qu'il monte me donné un petit coup de main.
Je l'en remercie encore ainsi que les rabatteurs (Yannick Bourrier Pierre Costecalde et Manu Prunet) et les chiens qui on fait un super travail.
Dommage que je n'ai pas de caméra embarquée et que mon frère ne m'est pas prêté la sienne ce jour là puisqu’il s'en servait.
Voici à défaut une photo souvenir.
